Islam or not Islam

L’islam peut-il se fondre dans la République ou disparaître du territoire ?

Certains médias, certains hommes et femmes politiques et certains penseurs parlent aujourd’hui de l’islam radical et de l’islam politique à l’intérieur de notre république laïque, issue de deux milles ans d’histoire, de plusieurs civilisations grecques, latines et judéo-chrétienne.

Depuis un an, j’ai lu et ce n’est pas facile, « Le saint Coran » de révélation (2010), « le Coran » traduit de l’arabe par Kasimirski (Flammarion 1970), « Comprendre l’Islam » de Frithjof Schuon (Sagesses 1976) et « Petit traité d’histoire des religions » de Frédéric Lenoir (Plon 2014). Ceci ne prouve pas que j’ai réussi à tout comprendre. C’est à peu près aussi hermétique que « la critique de la raison pure » de Kant, néanmoins sans être un intellectuel philosophe on peut arriver à se faire une idée assez précise de ce qu’est l’Islam sur notre terre aujourd’hui.

Dans notre pays la France, l’Islam est un et veut tout être : le curé, l’évêque, le maire, l’instituteur, le responsable associatif, le juge, le ministre et pourquoi pas le père de la nation... Mais il est aussi le protecteur du djihad, le persécuteur des apostats, le propagateur de la charia, le zélateur de la soumission de la femme, le sectaire exclusif de sa religion, le pédophile et j’en passe, etc…

Ce que je ne comprends pas ou plutôt que j’ai trop bien compris certains médias, politiques et élites nous disent que ce ne sont qu’une minorité fondamentaliste, salafiste, djihadiste qui gangrène la religion de l’Islam. La « grande majorité » des croyants musulmans n’est pas comme cela. Si l’on regarde l’histoire objectivement, dans les deux millénaires qui nous ont précédés, les majorités étaient toujours contre les despotes, les tyrans, les oppresseurs, les persécuteurs, les dictateurs et pourtant bien des tragédies se sont nouées et des millions de morts en ont résulté. Alors, pourquoi les croyants musulmans qui sont par essence de bonne foi, ne s’insurgent-ils pas contre ces fondamentalistes et ne dénoncent-ils pas ce qui se passe chez eux ? Certains diront « la peur » des représailles, d’autres craindront la vengeance.

Pour moi, il n’y a aucune peur, lorsque l’on voit tous les jours les comportements des adeptes de l’islam, et c’est pour cela que je pense que ces individus se servent de nos lois pour nous asservir, de nos règles pour nous soumettre, de notre morale pour nous museler, de nos élites pour nous assujettir. De nos élites parlons-en ! Le général de Gaulle ne leur faisait pas confiance et il savait pourquoi. Aujourd’hui nos élites n’ont plus de nationalité puisqu’ils naviguent de « ville-monde » en « ville-monde » et ne se sentent plus françaises. Nos élites nous vendent chaque jour un peu plus et ont besoin de nous remplacer, nous les classes moyennes et populaires par une population plus soumise et tenue par une idéologie autre que celle de l’indivudualisme.

Nous sommes en train de perdre non seulement notre âme, mais aussi notre identité, d’une part par le déni de notre culture et par l’assimilation forcée d’une autre culture. Certains l’ont dit, dans moins de cinquante ans, la France sera musulmane. Les dix mille personnes qui vivent hors sols dans notre république n’en n’ont rien à cirer. De plus je ne pense pas qu’il faille compter sur nos jeunes à part quelques un, notre société les a rendus faibles. Alors si nous voulons conserver nos racine cultuelles, culturelles et traditionnelles, il n’y a qu’une chose à faire. Faire comme Charles Martel, réduire ce qui est déjà en place et préparer le combat de l’avenir.